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lundi 30 décembre 2013

le deni de la castration a l'origine de la perversion

Mon état dépressif actuel me fait lire le maximum de textes relatifs au complexe d'oedipe et a l'angoisse de castration. L'angoisse de castration liée a la découverte que la mere ne possède pas de penis et que le garçon risque de perdre le sien a son tour peut se résoudre de 3 façons: - l'intervention du pere symbolique (dans le discours de la mere) en tant qu'objet du désir de la mere, permet au garçon de ne pas vivre la relation d'inceste symbolique avec sa mere et de devenir un individu sépare de sa mere. il refoule l'angoisse de castration. - si la mere ne parle pas du temps du perd, et au contraire cherche a prolonger le lien fusionnel avec son fils (forclusion du nom du perd), le garçon peut sombrer dans la psychose et perdre pied avec la réalité et avoir des difficultés de langages - pour le travesti et le fétichiste, l'angoisse de castation est recule par le déni de la castration. le fétichiste se persuade que la mere est toujours pourvue du phallus symbolique par le biais du fétiche et le travesti recree d'image d'une femme phallique, qui lui permet de jouir de sa relation incestueuse avec sa mere. On est dans le cas de la perversion. Je vais essayer de me renseigner comment on peut traiter une perversion comme le travestisme fétichiste.

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